Les avantages fiscaux de l'investissement immobilier

Les investissements dans l'immobilier destinés à la location ultérieure sont de plus en plus populaires. Avec la bonne approche de ce métier, on peut parler des investissements les plus rentables en termes de fiscalité. Découvrez alors les avantages fiscaux de l’investissement immobilier.

Dépenses déductibles

De nombreuses dépenses courantes encourues par les investisseurs immobiliers sont considérées comme des dépenses déductibles qui peuvent être réclamées sur vos impôts. Cela signifie que vous n'aurez pas à vous soucier de payer des impôts sur ces dépenses.

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Certains investisseurs immobiliers en herbe utilisent même le processus de piratage immobilier pour augmenter les bénéfices déductibles. En effet, les propriétaires peuvent bénéficier d'avantages fiscaux supplémentaires lorsqu'ils investissent dans leur résidence principale.

Les différentes dépenses déductibles

Voici quelques-unes des nombreuses dépenses déductibles courantes dont vous pouvez bénéficier dans le cadre de votre investissement immobilier. Il faut aussi noter que les dépendent de votre propriété et de ses caractéristiques :

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  • Intérêts hypothécaires ;
  • Impôts fonciers ;
  • Assurance habitation ;
  • Frais de gestion immobilière ;
  • Entretien et réparation des bâtiments ;
  • Dépenses professionnelles éligibles.

Si vous avez des doutes sur les dépenses qui peuvent être déductibles fiscalement, il vous suffit de contacter les autorités compétentes de votre localité.

Amortissement

La pratique de l'amortissement permet de rendre compte de l'usure d'un bien au fil du temps. Elle offre un moyen d'aider les investisseurs à déduire fiscalement les biens locatifs. Il s’agit de ceux qui subissent inévitablement les effets négatifs d'une utilisation sur une longue période. L'amortissement est déterminé en calculant la durée de vie utile du bien.

Une fois que cela est fait, vous pouvez demander la déduction annuelle sur vos impôts, ce qui peut contribuer à réduire vos impôts.

Pour calculer la dépréciation d'un bien, il faut commencer par déterminer le coût de base du bien. Ensuite, il faut le diviser par la durée de vie utile du bien et calculer un tableau d'amortissement.  Une fois ce barème calculé, vous pouvez l'utiliser pour calculer et bloquer les déductions fiscales annuelles.

Facteur à prendre en compte

Lorsque vous vendez votre propriété, n'oubliez pas une pratique connue sous le nom de récupération de l'amortissement.  Essentiellement, lorsque la dépréciation est appliquée à un bien, son coût de base est réduit en maintenant l'investissement. Lors de la vente du bien, on calculera l'impôt sur les plus-values sur la base d'une majoration reflétant ce nouveau coût de base. Voici un exemple de récupération de l'amortissement à l'œuvre.

Supposons que vous achetiez un nouveau bien pour 250 000 € et que vous appliquiez ensuite un amortissement de 50 000 €. Cela réduit votre prix de base à 200 000 €. Vous vendez ensuite le bien pour 300 000 € ? On calculera l'impôt sur les plus-values en utilisant 100 000 € bruts au lieu de 50 000 €.